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Pour des rai­sons de sé­cu­rité ju­ri­dique et d’éga­lité de trai­te­ment, l’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances ASA es­time ju­di­cieuse une ré­gle­men­ta­tion por­tant sur l’«out­sour­cing», à sa­voir sur l’ex­ter­na­li­sa­tion de ser­vices.

La ré­vi­sion to­tale de la LCA et la ré­vi­sion par­tielle de la LSA qui y est liée sont d’une im­por­tance cru­ciale pour le sec­teur de l’as­su­rance. Ainsi, l’ASA a exa­miné le pro­jet de loi et le mes­sage du Con­seil fé­dé­ral en pro­fon­deur.

L’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances ASA vient de nom­mer son fu­tur nou­veau di­rec­teur : le vice-chan­ce­lier Tho­mas Hel­bling prn­dra la suc­ces­sion de Lu­cius Dürr.

La cam­pagne de pré­ven­tion «Slow down. Take it easy» aborde d’une ma­nière po­si­tive et émo­tion­nelle le thème de la vi­tesse au vo­lant: mettre la pé­dale douce, c’est à la fois fun et cool!

Au vo­lant, la con­duite doit re­de­ve­nir la prin­ci­pale oc­cu­pa­tion. Tel est l’ob­jec­tif de la cam­pagne de pré­ven­tion «Garde les yeux sur la route» de l’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances et du TCS.

«Eco­sys­tème de l’as­su­rance»: com­ment ap­pré­hen­dons-nous le chan­ge­ment cli­ma­tique? Telle est la pro­blé­ma­tique qui sera abor­dée cette an­née par l’ASA lors de la jour­née de l’as­su­rance.

Avec les voi­tures au­to­nomes, les ac­ci­dents sont-ils plus ou moins nom­breux? Ina Ebert, pro­fes­seur et ex­perte à Mu­nich Re ap­porte des ré­ponses.

La po­li­tique de la Suisse en ma­tière de mar­chés fi­nan­ciers est sur la bonne voie. Quelques me­sures de­meu­rent néan­moins en­core né­ces­saires.

Le chan­ge­ment cli­ma­tique est un fait Les as­su­reurs sou­tien­nent la Stra­té­gie éner­gé­tique 2050 et la trans­for­ma­tion pro­gres­sive du sys­tème éner­gé­tique.

Le re­lè­ve­ment de la quote-part dite mi­ni­male ne se tra­dui­rait pas par le ver­se­ment d’ex­cé­dents sup­plé­men­taires, mais nui­rait à l’as­su­rance-vie col­lec­tive.

Le taux de con­ver­sion est l’une des prin­ci­pales va­leurs per­met­tant de cal­cu­ler les rentes de vieil­lesse. Or, il est bien trop élevé et son ni­veau ac­tuel ne cor­res­pond en rien à la réa­lité.

Les caisses de pen­sion sont te­nues de ré­mu­né­rer les avoirs de vieil­lesse de leurs as­su­rés avec un taux d'in­té­rêt trop élevé.