Point de vue

Avec l'in­fla­tion et le re­lè­ve­ment des taux d'in­té­rêt, le sec­teur de l’as­su­rance se trouve face à de nou­veaux dé­fis.

Les as­su­reurs ont tout in­té­rêt à con­tri­buer à la pré­ser­va­tion du­rable de l’en­vi­ron­ne­ment afin de ré­duire au maxi­mum les risques en­vi­ron­ne­men­taux et leurs po­ten­tielles con­sé­quences fi­nan­cières.

Les as­su­reurs-ma­la­die sont de­puis long­temps dans le col­li­ma­teur des po­li­tiques et de l’opi­nion pu­blique en ce qui con­cerne les com­mis­sions ver­sées aux in­ter­mé­diaires et le dé­mar­chage té­lé­pho­nique.

En as­su­rance com­plé­men­taire d’hos­pi­ta­li­sa­tion, les as­su­reurs pri­vés pro­po­sent des pro­duits ré­pon­dant sur me­sure aux be­soins des per­sonnes as­su­rées.

Bien que le sec­teur fi­nan­cier con­siste en leur réu­nion – les ban­quiers et les as­su­reurs as­su­ment des rôles éco­no­miques to­ta­le­ment dif­fé­rents.

La ré­forme de la pré­voyance vieil­lesse est es­sen­tielle pour l’ave­nir de la Suisse.

Les risques ma­jeurs sont des dan­gers pré­sen­tant un po­ten­tiel im­mense de si­nistres et fi­gu­rent en tête de la liste des risques de la Suisse.

Les com­pag­nies membres de l’ASA s’ac­cor­dent sur le fait qu’une op­ti­mi­sa­tion des con­di­tions d’exer­cice s’im­pose aux ni­veaux na­tio­nal et in­ter­na­tio­nal pour le monde du tra­vail de de­main.

L'ASA sou­tient lar­ge­ment la ré­vi­sion de l'OS. Elle es­time tou­te­fois que cer­tains points doi­vent être mo­di­fiés.