Après un infarctus, les patients pourraient reprendre beaucoup plus rapidement leur travail si les médecins exploitaient correctement les nombreuses possibilités offertes par la médecine. Par contre, s’ils ne cessent de rédiger des arrêts maladies pour leurs patients, cela ralentit la guérison de ces derniers. La dernière édition du magazine «Infoméd» illustre ces propos à l’aide d’un exemple typique tiré de l’assurance d’une indemnité journalière en cas de maladie.
Après un infarctus, les patients pourraient reprendre beaucoup plus rapidement leur travail si les médecins exploitaient correctement les nombreuses possibilités offertes par la médecine. Par contre, s’ils ne cessent de rédiger des arrêts maladies pour leurs patients, cela ralentit la guérison de ces derniers. La dernière édition du magazine «Infoméd» illustre ces propos à l’aide d’un exemple typique tiré de l’assurance d’une indemnité journalière en cas de maladie.