Catastrophes naturelles

Il y a 20 ans, une crue cen­ten­nale frap­pait la Suisse de plein fouet. Au­jourd’hui, les dom­mages se­raient un tiers moins im­por­tants – grâce aux me­sures pré­ven­tives et aux pro­grès de la re­cherche.

Cette fiche tech­nique pré­sente ce qu'il faut sa­voir sur le risque sis­mique et sa cou­ver­ture d’as­su­rance.

Lors de sa con­fé­rence de presse an­nuelle, l'ASA af­fiche un vo­lume de primes so­lide pour l'an­née 2024 et pré­sente une nou­velle étude de So­tomo. 

Une nou­velle étude de So­tomo montre que le risque sis­mique est lar­ge­ment sous-es­timé en Suisse.

La bro­chure «L'as­su­rance des dom­mages na­tu­rels – une as­su­rance unique au monde» ex­plique le mode de fonc­tion­ne­ment de l'as­su­rance en cas de dom­mages liés aux forces de la na­ture.

L’ASA re­jette ce pro­jet. Le risque de trem­ble­ments de terre est en­tiè­re­ment as­su­rable par le sec­teur privé et un sys­tème d’en­ga­ge­ments con­di­tion­nels donc in­com­plet et inu­tile. 

Mi­chele Salvi,
éco­no­miste en chef de l'ASA, ex­plique pour­quoi il est si im­por­tant de trou­ver un équi­libre entre res­pon­sa­bi­lité in­di­vi­duelle et ré­gle­men­ta­tion éta­tique.

6 rai­sons pour les­quelles la pro­po­si­tion d'une « as­su­rance contre les trem­ble­ments de terre par un sys­tème d'en­ga­ge­ments con­di­tion­nels » du Con­seil fé­dé­ral fait fausse route. 

Le dé­ve­lop­pe­ment de la plate-forme in­for­ma­tique de « Or­ga­ni­sa­tion dom­mages sis­miques » est ter­miné.